Formation en réparation électroménager

 

Lutter contre l’obsolescence programmée et devenir un modèle de réussite pour les jeunes des quartiers prioritaires. 

Ce samedi, à Arue, neufs jeunes des quartiers prioritaires, bénéficiaires d’une formation à la réparation d’appareil électroménager financée en partie par le Contrat de ville, ont pu proposer leurs services lors d’ateliers collaboratifs Tata’i. 

Les jeunes ont été ainsi formés et accompagnés sur une période d’un mois par A2D conseil et l’association Tata’i fenua. 

L’objectif se veut double, puisqu’elle permet d’une part de lutter contre l’obsolescence programmée ou de l’usure de nos appareils et d’autres parts de proposer des formations qualifiantes pour nos jeunes des quartiers prioritaires. 

Grâce à ce type de formation, nos bénéficiaires ont l’occasion d’être acteur de l’économie circulaire en proposant des services de réparation adaptés. 

Pour l’occasion, plus de 80 personnes se sont déplacées afin de connaître ces ateliers, mais aussi avec l’espoir de pouvoir redonner une seconde vie à leurs appareils électroménagers. 

De plus, certains propriétaires d’appareils sont heureux de participer à ce mouvement, puisqu’il permet de redonner une seconde vie à leur appareil électronique, mais sont d’autant plus conscient qu’ils participent à l’amélioration du lien sociale avec nos jeunes des quartiers prioritaires. 

Au-delà, de ces formations, l’objectif pour l’association et la commune est de proposer des formations qualifiantes leur permettant d’avoir dans un premier temps un revenu d’appoint pour ensuite intégrer une entreprise locale ou bien de proposer leurs services à la demande. 

Les points forts de cette action : 

  • La lutte contre l’obsolescence programmée ;
  • Une activité en lien avec l’économie circulaire ;
  • Des formations qualifiantes ;
  • Une participation rigoureuse des bénéficiaires ;
  • La création d’un lien sociale entre les bénéficiaires et la population .

La prochaine étape : 

  • Permettre un revenu d’appoint pour répondre aux priorités des habitants ;
  • Obtenir des certificats d’obtention reconnus afin de faciliter l’employabilité des bénéficiaires. 
  • Devenir un modèle de réussite pour les plus jeunes des quartiers prioritaires.

Un projet cofinancé par l’État, le pays et les communes membres du Contrat de ville :

Financeurs 

Montant de la subvention en XPF

Taux de financement en %

Syndicat mixte

1 219 622

60

Fonds propres

813 082

40

Ensemble

2 032 704

100

 

Pour suivre l’association :

https://www.facebook.com/tataitahiti/

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